En général bien calé sous des tonnes d’égo, le soi respire d’aise lorsque l’oeil plonge dans le viseur… (la suite du texte en cliquant sur les photos)

que l’index tourne les molettes
pour atteindre la meilleure exposition,
que les pieds se déplacent
pour choisir le point de vue le plus approprié,
le corps s’allège,
s’absente même,
soi reste face à l’image dans le viseur.
Plus de pensées vagabondes,
la paix m’enveloppe.

Une réaction

    1. Merci Cathie. Contente que ça te plaise. Depuis que je n’ai plus Gontran je voyage moins. Alors je suis revenu à mes anciennes amours. Tu peux en voir d’autres sous l’onglet poétique dans la page d’accueil. J’apprécierais tes commentaires d’ailleurs. Bises

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