Entrons dans la partie sud du parc, celle qui mène au fleuve Saint-Laurent. 
Dans le bois dénudé de l’automne…
Pour voir la suite, cliquez sur la première.
Les derniers rayons s’infiltrent dans le sous-bois,
jetant leur lumière çà et là,
éclairant des figures fantastiques.
Toute fin appelle un commencement, toute mort appelle une naissance.
Le temps n’est pas une mesure; c’est un rythme, le rythme des instants.
Les battements de mon cœur s’y harmonisent.
Un grand calme m’envahit, une paix profonde qu’aucune pensée ne vient troubler.
Mamie en cavale (Francine Campeau) 
un montage poétique bien ficelé, très émouvant
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Merci beaucoup. Résultat de quelques heures d’insomnie.
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Ces arbres portent une histoire presque tragique il me semble mais ils apportent maintenant la Paix. Dichotomie de la nature.
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Vous m’intriguez.
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Tres beau! The reflection in the puddle is fantastic 🙂
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Merci beaucoup Janice.
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Félicitation, votre prose se marie bien à vos photos… superbe.
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Ce sont elles qui m’inspirent. Merci Réjean.
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Tant pis pour les sapins décorés…Les arbres dénudés nous offrent leur beauté. J’aime les réflexions qui font parler tes magnifiques photos!
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C’est ce que je me dis. La nature est toujours belle. Merci Claudette.
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Jolie série, j’adore la première, le Saint Laurent est magnifique avec ses nuages…
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Merci. Oui, le Saint-Laurent, toujours Grand. En cliquant sur les autres photos on en découvre d’autres belles…
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